Alors qu’une tempête de neige immobilise New York, un mystérieux objet contenant un œuf tout aussi mystérieux fracasse la vitre d’un immeuble d’appartements, dans lequel vit la jeune Charlotte. Rebelle, un peu chiante et se sentant mise à l’écart depuis la naissance de son petit frère, elle tourne en rond dans l’immeuble, à l’affût d’un potentiel affront adolescent à commettre, et finit par tomber sur une petite araignée qu’elle décide d’adopter. Et Sting – c’est le nom qu’elle donne à la bébête – va se révéler être un passe-temps fascinant ! Non seulement Sting chante, comme s’il avait un message à faire passer dans son bocal, mais il a aussi une courbe de croissance phénoménale. Se nourrissant d’abord de quelques blattes et cafards, ce Tamagotchi aux huit pattes velues va très vite apprendre à sortir de son bocal pour visiter l’immeuble, et découvrir de nouvelles saveurs exotiques tels que souris, rats, perroquets, chiens, et autres chats. Pour les tailles au-dessus, on va quand même attendre une bonne nuit de digestion avant de partir en chasse…
Alors là, franchement, on est sur velours : derrière la caméra ? Kiah Roache-Turner, heureux papa de WYRMWOOD : ROAD OF THE DEAD et WYRMWOOD APOCALYPSE. Aux effets spéciaux ? Weta, la mythique compagnie de Peter Jackson. Le sujet ? Un cauchemar absolu pour les arachnophobes. L’ambiance ? Pensez à tous les films de monstres qui ont su manier le gore et l’humour pour devenir cultes. Est-ce qu’on est sur une bonne séance ? Non, restons sérieux : on est sur une séance exceptionnelle.